1er roman : "Face à son destin"

          

4ème couverture :

   Sylvie Livet publie son troisième ouvrage. Elle est née à Saint-Menoux dans l'Allier. Pensez positif (préface Joël Bats) paru en 2005 connaît un immense succès et a obtenu deux premiers prix en 2007 (Courtenay et Nevers). La valse du temps est préfacé par l'écrivain Patrick Chaussidière et a obtenu le premier prix de la commune de Saint-Etienne S/Usson.

   Ce roman Face à son destin a pour symbole l'oiseau. C'est aussi une réflexion sur un passé historique. L'auteur prend soin de mêler l'Histoire à l'histoire.

   Retour de guerre du grand-père comme un aigle blessé, grand-mère esseulée, Christian et Lisa, Jean-Lou né dans le même village que Lisa, le même jour à dix-sept ans d'intervalle, le philosophe Thùng-Lâm, Martial, Sylvette jeune femme greffée, Thomas qui fera de son handicap une force. Des secrets de famille, des parcours humains...

   La vie est pleine d'ambiguïtés avec un nombre considérable de couleurs avec leurs nuances pour permettre à chaque être humain de choisir sa couleur...Faire en sorte que chaque jour de notre vie ait un sens.

L'histoire débute ainsi :

     Prologue

La chaleur est écrasante en cette fin d'après-midi, mais sous l'ombre protectrice du grand chêne, un jeune homme est allongé dans l'herbe devenue un peu rêche et cassante avec l'été. Près de lui, une canne blanche trace un trait sévève dans la douce beauté du site.

Thomas, les mains sous la tête vogue dans sa nuit éternelle à la recherche des souvenirs colorés qui lui restent du temps où il accompagnait sa mamie Lisa dans cet endroit qu'elle aimait tant.

  Il imagine le grand aigle de pierre figé là pour l'éternité et qui a changé toute sa vie, qui' l'a conduit à l'heure de son grand virage obligé du jour à la nuit, à choisir cette profession qu lui permet d'être heureux malgré tout : dresseur d'aigle.

  En perdant la vue, il a gagné en acuité auditive et olfactive. Dans le silence paisible  il entend un cri d'oiseau volant très haut, le chant d'une hirondelle. Et il se souvient de ce que lui disait mamie Lisa : " quand je serai morte, il ne faudra pas être triste. Si tu vois une hirondelle, dis-toi que c'est moi qui veille sur toi".

   - Mamie, murmure le jeune homme très ému, c'est toi ? Tu vois, je suis allongé au même endroit où tu aimais rêver en regardant le ciel, mais si je ne le vois pas, ce ciel, je l'entends, je t'entends...

   Thomas ne voit pas l'oiseau qui place au-dessus de lui, très haut, dans le ciel pur, mais il sent sa présence, celle de Lisa...

   Autrefois, il n'y a pas si longtemps...

VENEZ DECOUVRIR LA SUITE... 

Comments

[Evelyne]

A bientot, pour lire la suite...

Grosses bises de ta soeur.

Evelyne